| Fródi Finnson Dieu de la prospérité et de la fertilité crédits : @alittlebitofrain
réincarnation de : Freyr · Dieu de la prospérité et de la fertilité
LOCALISATION : Oslo, mais voyage régulièrement un peu partout
PROFESSION : Architecte naval · héritier de la Norsk Sjø
ORBES : 668
misères : 116
Lun 24 Aoû - 15:01 FRÓDI FINNSON / FREYR Informations Âge : 30 ans Nationalité : Norvégienne Profession / études : Architecte naval, héritier de la société NORSK SJØ Etat civil : Célibataire, volage jusqu’à il y a peu, n’attend plus que la seule et l’unique désormais Situation familiale : Fils aîné, héritier de NORSK SJØ. Parents séparés. Père volage. Mère remariée, demi-sœur. Situation financière : Pas grand-chose à s’inquiéter de ce côté-là, héritier d’une grosse entreprise norvégienne Liens recherchés - Un meilleur ami qui le trouve bizarre depuis quelques temps. - Une ex qui le prend de haut. - Sa demi-petite-sœur à protéger. - Des divinités et créatures, à voir selon la mythologie (Freyja, Skadi, Njord, Odin, Surt...).
▬ ft. Bill Skarsgård Lumineux Lunatique Passionné Sombre Épicurien Téméraire Ordonné Curieux Lascif Colérique HistoireFREYR Je suis né dans le Vanaheim et je suis un Vane. Peu importe ce que vous diront les légendes. J’ai beau être considéré comme un Ase, j’ai beau m’être fait à cette vie, ne pas tenir de rancune envers mes anciens ennemis devenus, pour certains, des amis fidèles, je suis un Vane et rien ne pourra jamais changer cela. Je me souviens encore des batailles menées contre les Ases. En ce temps, j’étais jeune et le meilleur guerrier de mon peuple. Mon père, Njord, m’avait suffisamment entraîné pour manier Mimming (mon épée) avec une dextérité hors du commun. Ce n’est pas sans raison que je pris la tête de l’armée Vane durant la guerre contre les Ases. Mais ces dieux aux pouvoirs redoutables sont parvenus à nous défaire et Njord, Freyja et moi-même dûmes nous constituer prisonniers. Encore aujourd’hui, je ne sais pas si ce fut une bonne chose pour nous, mais la paix régna enfin et de cela, je ne peux que me réjouir. Auprès des Ases, je dus me séparer de Freyja à laquelle je tenais plus que tout. Ma sœur, ma jumelle, ma moitié. Notre relation ne plaisait pas à nos nouveaux hôtes. Je pris demeure dans Ljosalfheim, le pays des Alfes de lumière. Je m’y sentais à ma place, bien plus qu’à Asgard, et l’on ne me le reprocha pas. J’avais juré fidélité à Odin et je n’avais qu’une parole. Je le respectai tout particulièrement car il avait la sagesse en plus de l’habilité. Plusieurs fois, je montrai ma fidélité au combat, terrassant le géant Beli dans les forêts d’Asgard. Jusqu’au jour où je voulu m’asseoir sur le trône d’Odin, juste comme ça, pour voir ce que cela faisait. Je payais cette curiosité par un coup de foudre, un auquel personne ne s’attendait. Je la vis sortir de sa maison au lever du jour, dans le Jötunnheim. Gerd. Et je la trouvais si belle qu’il me fut impossible de penser à quoi que ce soit d’autre. Ni Freyja, ni Hella, ni aucune Valkyries ne purent me la faire oublier, car je n’avais jamais rien vu de plus beau que la lumière entre ses bras tendus vers le ciel. Mais elle ne voulait pas de moi et j’en perdis le sommeil, le goût de la nourriture et de la boisson, je ne jouais plus, ne faisais que travailler, jour après jour, obéissant aux injonctions d’Odin. Je guidais les humains sur la mer, et Loki m’offrit Skidbladnir, un bateau si grand, puissant et magique, que je pouvais le replier suffisamment pour le faire entrer dans mon sac lorsque je partais en errance sur Midgard. À chacun de mes retours, j’étais plus maigre et moins étincelant. Je dépérissais à vue d’œil, la vie s’échappait de moi sans que j’en fasse grand cas. La vie ne valait pas la peine sans Gerd à mes côtés. Il fallut un temps considérable et l’entremise d’une de mes fidèles servantes pour que Gerd accepte enfin de m’épouser. Ce jour-là, même son mon épée que j’avais dû céder, je fus le Vane le plus heureux de l’univers. La lumière me revint dès notre nuit de noce dans ce bosquet fleuri et je ne cessai de briller que lorsque nous finîmes prisonniers des pages de ce livre.
FRÓDI Je la regardai se lever, s’extraire du drap blanc qui recouvrait son corps nu. Elle ne me jeta pas un seul regard. Pourquoi faire de toute façon ? On savait tout les deux que ça ne durerait pas. Ce n’était pas ce qu’elle voulait. Ce n’était pas non plus ce que je voulais. Je tournai, attrapai mon paquet de cigarettes sur la table de chevet, en glissai une entre mes lèvres. La flamme du briquet vint se refléter dans mon regard glacial et vide, puis la fumée la remplaça et l’odeur du tabac emplit la chambre, vint couvrir le parfum d’une nuit de débauche terne, mécanique, sans sentiment. Dehors, il pleuvait. J’aurais aimé faire cesser la pluie. Faire briller le soleil. Parce que c’était la seule chose qui me faisait me sentir un minimum en vie. Mais je n’étais pas un dieu. Un simple et pauvre mortel, pour toujours. Au lieu de ça, j’allais m’habiller, enfiler ce costume, tiré à quatre épingles pour recevoir mon diplôme. J’étais officiellement architecte naval, même si je le faisais hier dans cette fichue entreprise familiale dont je prendrais les rênes un jour. Mon père était armateur. Dès que j’avais lâché les seins de ma mère, je l’avais suivi dans chacun de ses voyages. Jusqu’à mon entrée à la fac, à Oslo, il m’apprenait lui-même (enfin le précepteur engagé à prix d’or m’apprenait) ce que je devais savoir durant mon éducation. Il m’enseigna les mathématiques, le norvégien, le suédois, l’anglais, l’allemand, le finnois, le français, l’histoire et la géographie… Mais par-dessus tout, j’appris à dessiner. Je passais des heures entières à transcrire sur papier chaque détail des bateaux sur lesquels nous naviguions. Le commerce ? Très peu pour moi, au grand dam de mon père, mais cela ne m’empêcherait pas de prendre sa succession, de travailler sur la mer, parce que je grandissais avec et que je vibrais avec. J’appris un peu plus aussi, avec l’âge, les hormones et les quelques femmes que nous croisions dans les ports. J’étais jeune, mon père avait de l’argent, autant dire que je devins un petit con, mais je n’en avais pas grand-chose à faire, car comme mon enfance, je n’avais pas de port d’attache. J’y aspirais, ça oui, mais j’étais incapable de m’ancrer au même endroit trop longtemps. J’attendais que la perfection arrive, mais je ne rencontrais que des corps sans saveur. Avec ce diplôme, je n’étais plus stagiaire. J’allais pouvoir développer mes propres projets, voyager dans le pays, partir à la rencontre des clients, me défaire de l’emprise paternelle pour voler de mes propres ailes. Avec ce diplôme, j’allais enfin pouvoir être moi-même.
FRÓDI/FREYR J’étais en train de déjeuner lorsque cela se produisit. Je faillis m’étouffer avec le pain et dus boire une bonne lampée de ma bière afin de faire passer la toux. Je contemplai mon assiette avec dégoût dans cette auberge de Bergen où je logeais le temps de mon voyage. Dehors, le soleil se voila en une fraction de seconde, il se mit à pleuvoir. Une ondée d’une force peu commune. Une minute, peut-être deux avant qu’elle ne cesse complètement. Des gens affolés entrèrent dans l’auberge pour s’abriter. Moi, je me levai brusquement. Un mal de tête affreux déchira mes tempes. Je perdis l’équilibre, ne reconnaissant rien autour de moi. Où étais-je déjà ? Un homme me rattrapa alors que le sol se rapprochait soudain dangereusement de mon nez, il glissa une main sur ma joue glabre, me secoua, me frappa, mais je ne voyais que ses lèvres qui remuaient, ses yeux qui me fixaient. J’articulai péniblement quelques syllabes, l’homme comprit et m’entraîna vers ma chambre. Me soulevant comme une plume pour m’installer sur son épaule, il me jeta sur mon lit qui craqua et demanda si je voulais qu’il appelle un médecin. Je tournai la tête à gauche, à droite. Avec une lenteur désespérante. Il grimaça, peu convaincu, mais haussa les épaules et sortit en refermant derrière lui. Peut-être qu’il allait tout de même appeler une ambulance, peut-être qu’il allait revenir avec une bouteille d’alcool fort. Je fermai les yeux, attendant que ce malaise incompréhensible passe. Quand je les rouvris, mon esprit semblait apaisé. Je me levai, observai mes mains, tâtai mon visage, mes lèvres charnues s’étirèrent lentement en un sourire de satisfaction. Je me plantai face à la fenêtre, d’un geste de la main, les derniers nuages dans le ciel disparurent et le soleil redoubla d’éclat autant que de chaleur. Dehors, les gens quittèrent leur imperméable, certains osèrent même se balader en bras de chemise. J’étais réveillé. Et je devais la trouver. Gerd. Ma bien-aimée. |
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Lun 24 Aoû - 15:02 +1 |
| Caleb Odegärd Dragon réincarnation de : Samaël, illustre dragon et commandant d'une grande armée.
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Dim 18 Oct - 19:38 Toujours partant pour le lien supposé ? |
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Dim 18 Oct - 20:41 Oh bah oui, si tu es toujours partant de ton côté :D |
| Caleb Odegärd Dragon réincarnation de : Samaël, illustre dragon et commandant d'une grande armée.
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Dim 18 Oct - 20:48 Je me fais une joie de partager un petit bout d'histoire à tes côtés, c'est évident que je suis partant ! |
| Fródi Finnson Dieu de la prospérité et de la fertilité crédits : @alittlebitofrain
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Dim 18 Oct - 22:58 Génial il faudra qu'on se cale un rp même si je suis longue à répondre ^-^ |
| Caleb Odegärd Dragon réincarnation de : Samaël, illustre dragon et commandant d'une grande armée.
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Lun 19 Oct - 0:04 Le temps m’importe peu. Tu souhaites le débuter ou je t’en prépare un ? |
| Fródi Finnson Dieu de la prospérité et de la fertilité crédits : @alittlebitofrain
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Lun 19 Oct - 13:42 Si tu te sens d'attaque, vas-y |
| Luxia Goodwater Déesse de la fertilité crédits : @pinterest
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