Dans un premier temps, merci d'avoir été si nombreux à soumettre votre inscription pour l'animation de septembre, portant sur la rédaction d'un poème (forme libre) sur votre personnage. Je peux dorénavant déclarer l'évènement ouvert, nous attendrons donc avec impatience vos écrits que vous pourrez poster à la suite dans le code que vous souhaiterez (vous pouvez très bien présenter votre poème sans).

rappel des modalités
• Vous avez à partir d'aujourd'hui et jusqu'au 25 septembre pour poster votre poème, soit une totalité de 15 jours.

• Il n'y a aucune limite de mots (ni minimum, ni maximum), la forme est libre (en vers ou en prose), vous n'êtes pas obligé de faire des rimes non plus.

• Le poème devra porter sur votre personnage : qu'il s'agisse du point de vu de l'humain, de la divinité ou des deux, c'est à vous d'en décider.

• Pour ceux et celles qui le veulent bien, vous pourrez nous écrire un message sur ce poème pour nous le présenter : expliquer pourquoi ce choix, ce que vous vouliez transmettre etc.

encouragements
Encore une fois ne mettez pas la pression et faites seulement de votre mieux, voyez ça comme un exercice ou un moyen de souffler un peu et d'exprimer votre plume dans un autre langage.

récompenses
Tous les participants recevront un badge, mais on en offrira un supplémentaire pour le coup de coeur de l'équipe  

code optionnel

Code:

<center><br /><div class="balise1"><div class="titre1">Titre de mon poème</div></div>
<center><div style="background: rgba(255,255,255,0.7); padding: 15px 15px 15px 15px; width: 450px;"><div style="text-align: justify; font-size:11px; color: #303030; line-height:13.5px;">






 
</div>
</div></center><br />

Participants
@Magnus Larsen @Fródi Finnson @"Satya Sigurdottir" @Viggo Jensen @"Lene Feuerbach" @Sally Collingwood @Helena Vinterjente @Kersti Vinter @"Theodora Paulson" @"Adam Cunningham" @Luka Stenseth @"Alejandro Gomes" @Sören Osmond

Halle froide, solitaire
Frimas glaçant l'étranger
Réconfort polaire

Géant acculé
Fille terrassée de colère
Dieux offrant la paix

Rire volé sincère
Un mari parmi les dieux
Étoiles nées du père

Rivages fastidieux
Loin du blizzard de l'hiver
Souvenirs brumeux

Rancœur enchaînée
Au tueur venant d'Asgard
Souffrance remboursée

Naissances sous bonne garde
Amour et prospérité
Mère rendue hagarde

Frisson enneigé
Frais manteau blanc du blizzard
Bientôt retrouvé

Songe d'un départ
Par ce réveil apporté
Givre en étendard

Haine est un mot qu’elle ne connait pas
Enjouée elle restera.
Libre comme l’air, surtout tête en l’air,
Et Helena en est fière.
N’hésitant jamais, toujours à séduire,
Armée de son beau sourire.

Vint alors ce jour si fatidique,
Inévitable cirque,
Non volontairement, Lofn s’installa,
Trouva Helena sympa,
Et voilà qu’à deux, elles se retrouvent,
Rien qu’elles ne désapprouvent.
‘Jamais deux âmes dans un même corps !’
Est une des règles d’or
Nos jolies dames y survivront-elles ?
Tiraillées deviendront-elles ?
Ensemble, elles ne seront pas plus fortes …  

Bragi du matin
Se lève avec Sa main

Bragi du soir
Pense qu'il y a peut-être de l'espoir

Mais dans son lit
Il se rend compte qu'il est sans amis

Alors dans la nuit étoilée
Il se dit qu'il l'a sans doute pas mérité

Pour vivre heureux
N'oubliez pas qu'il faut plutôt vivre à deux

Choissez votre destin
Si vous ne voulez pas vous lever
avec votre main

Être petit
Fenrir n'aime pas ça
Avoir un chien du même nom que lui
Fenrir n'aime pas ça

Etre humain
Fenrir n'aime pas ça
Pouvoir utiliser ses mains
Fenrir doit l'avouer... Il aime bien ça.

Mais devoir cuisiner
Fenrir déteste ça
Devoir s'habiller
Par dessus tout, Fenrir déteste ça.

Fenrir n'aime pas grand chose.
Se laver, avoir des chaussures aux pieds
Fenrir a eu sa dose
Allez vous faire enculer

Ô doux oubli, tu caresses de ton glaive mes plus viles cicatrices et embrasse de toute ta rouille mon esprit. Que chasse en ta demeure, mes doutes et l’abnégation de ma rage… à tes pieds, repose désormais, le bouclier de mon âme anesthésiée.

Gare à l’aube qui connaîtra, par son réveil, une ère funeste, dont la couleur âcre peindra jusqu’à l’aurore, le monde d’une fresque indigeste. Et que gronde alors le firmament de mon ire, à qui s’est octroyé le droit de me nuire.

Trembleront la terre et le ciel, sous les cris des combattants partis en guerre. Que les lamentations accueillent ces Dieux en leur demeure, par deux fois, tués avant l’heure.


Et il sera indifférent à la beauté des étoiles qui écument les cieux en quête de gloire. Le regard rivé vers un horizon qu'on ne peut discerner qu'en fermant les yeux. Il y aura dans ses iris, une ombre qui plane : à la fois dangereuse et envoûtante, empreinte d'une mélancolie et d'une puissance terrifiante. Une petite brèche ambre, intense, au plus profond de lui-même. Quelque chose d'insolite qui le tiendra en tenaille. Un regard d'eau et d'air étincelant de froid qui s'appose sur chaque chose, un regard d'acier qui tente d'étouffer l'étincelle qui danse avec volupté, sans jamais s'épuiser : tel un Lys éclos sur le champ de bataille.

Prends garde lecteur, ne confonds point les rimes et mon hymne. Le Héros ne brille jamais dans la gloire, il ne s’illumine qu’au moment de son trépas.

Sur les champs d'été,
Sous les rayons et les vents,
Chante le Vanesir
Pour les temps d'abondance.

Sur les ventres fertiles,
Qui s'arrondissent de semence,
Femme peut être fort
Sous la protection du maître du temps.

Depuis le trône du Plus Puissant,
Perdit son âme, son coeur et sa raison
A la vue de celle qui
Dans son giron, cultivait des lambeaux de lumière.

Temps passa où elle le refusa.
Champs et ventres tarirent,
Obscurité et ondées incessantes,
Sur les neufs royaumes stériles alors.

Ainsi fût,
Jusqu'à leur union
Qui rendit la vie aux mondes.

Au cœur des forêts du Nord,
Par-delà les montagnes boréales
Où le silence l’honore,
S’y niche son empire idéal.

Le temps est suspendu,
Les flocons tourbillonnent.
Aux tréfonds des bois défendus,
Une flèche vibre et ce fut
Un avertissement pour les intrus.

D’une discrétion infinie,
Dans un décor pétrifié,
Il veille d’un air réprimé
A la paix de son domaine.

Personne, jamais,
N’a un jour su ce qu’il valait.
Ou peut-être une, le tiraillait.

Revenu au cabanon chaleureux,
Aux crépitements dans le feu,
Elle l’attendait, gracieuse,
Il l’enlaça, joyeux.