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Le réveil des dieux

Entendez-vous souffler ce vent norvégien, porteur d'un secret vieux de 3 000 ans ? Il contourne les géantes rocailleuses, défie les forêts de sapins et les eaux troublées, urgé de vous transmettre son témoignage... car aux frontières de Bergen, autrefois préservé dans des glaciers, le livre de La Völva a été ouvert. Les âmes des divinités et autres créatures nordiques prisonnières de ses pages peuvent dorénavant être relâchées sous le ciel, pour répondre à la promesse de l'inéluctable.

Le destin déploie sa main et vous dévoile son jeu, et quand vos yeux constatent votre défaite, vous comprenez enfin la vanité de votre combat.

Intrigue en cours — Le temps est bien choisi pour vous duper : Le destin vous punis d’avoir voulu vous en détourner, entendez-vous son rire moqueur ?... Sachez que jamais il ne vous laissera en paix.
NB — Forum inspiré de la mythologie nordique | divinités et créatures mythiques réincarnées. Nous sommes en automne 2020 ; rps ultérieurs à la date actuelle prohibés, mention "flashback" pour les rps antérieurs.
à l'honneur
les attendus
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Caleb Odegärd
Caleb Odegärd
Dragon
réincarnation de : Samaël, illustre dragon et commandant d'une grande armée.
LOCALISATION : Bergen
PROFESSION : Tueur à gage
ORBES : 1533
misères : 198
Mar 3 Nov - 21:29













I've got you brother




Il plisse ses lèvres, un éclair de malice éclaire ses céruléennes. La colère, la frustration et la rage qu’il avait accumulées depuis son arrivée, se bousculaient dans son esprit et avivait le vil désir de t’ôter la vie pour combler un simple besoin de distraction. Bien que ses désirs ardents soient prometteurs, sa raison le soumettait à l’incroyable réalité des faits : s’il te tuait sans comprendre qui tu étais et à quel point tu pouvais lui être utile, il encourrait un risque non négligeable.

Il ravale son fiel et honore son expression d’un sourire espiègle, feignant la juvénilité qui lui faisait pourtant défaut. Son esprit était continuellement tourmenté par une vie qui ne lui appartenait pas. Et, à cela s’ajoutait les diverses préoccupations qui le suppliciaient depuis des années, animant sa rage et alimentant sa bile. Il humecte ses lèvres et dévisage le vieil homme qui feignait la surprise et le comblait d’excuses ingrates et non sincères.

« - Oh, je sais que vous l’avez fait exprès. Ne vous en faites pas, je vous l’aurais bien rendu. »

Le vieil homme ne put réprimer un sourire. Voir Caleb devait lui rappeler ses propres jeunes années, son insolence et sa vivacité malicieuse. Le brun tourne son attention dans ta direction et te dévisage de bas en haut très lentement avant de plisser les lèvres et de te répondre d’une voix totalement dénuée de toute chaleur :

« - Ce qu’il s’est passé ? Dois-je leur dire, mon frère ? hm. Ou le feras-tu ? »

Il esquisse un sourire et le rire qu’il jugulait n’augurait rien de bon. Il hausse les sourcils, face à ton impertinence et le peu de bon sens dont tu faisais preuve. Il tentait de vous sauver la mise et ton orgueil étouffait l’intelligence que tu peinais déjà à faire fonctionner. Il serre les mâchoires et se redresse, sous l’œil suspicieux du plus vieux alors qu’il s’avance près de toi. Son regard se plonge dans le tien, son torse frôle le tien, tout son corps, tous ses muscles respiraient le danger qui te guettait. Sa menace n’était pas verbale, cette fois. Elle était physique, et les Dieux savent combien il était dangereux de jouer avec la tension qu’il se plaisait à instaurer.

« - Combien de temps hm ? 7 ans. Tu m’as laissé là-bas en connaissant leurs traitements à mon égard, et… » Il retrousse le nez et lève ses mains dans un geste presque théâtral pour accompagner son discours. « - Tu t’es reconstruit ici. Loin de tout. Comme si de rien n'était. »

Il se tourne alors vers la vieille, sans plus leur accorder une once de bienveillance mesquine. Il hausse les sourcils et les épaules dans un même geste.

« - Vous devez admettre qu’après une telle preuve de lâcheté, je n’ai pas pu réprimer ma colère. Je l’ai donc frappé. Il m’a rendu mes coups et on s’est calmés. Puis vous êtes arrivés. »

Une demi vérité. Des réminiscences qui rendaient tout ce cirque réel et véridique. Il attrape la serviette qui lui servait de compresse et te la fourre dans les mains, cognant ton torse dans le même geste.

« - Maintenant, je vais me nettoyer. Il ne faudrait pas que… » Il rapproche son visage et avec toute l’amertume dont il était capable, souffla contre le tien : « - Mon frère. » les dents serrées… il te dépasse et ajoute en se dirigeant vers la salle d’eau : « - Perde un si joli tapis. »

Il claque la porte comme le ferait un enfant. Dissimulant sa véritable colère et tentant de contrôle les vices qu’il jugulait avec difficulté. Il ne comprenait pas pourquoi son fiel était remonté en une fraction de seconde et craignait de n’avoir attisé le tien. Tu lui semblais familier et il se demandait si l’esprit de ce Caleb n’empoisonnait pas ses raisonnements… ou si son propre esprit ne tentait pas de le prévenir d’une quelconque information.


Hélios Odegärd
Hélios Odegärd
Dragon
crédits : Hellrider
réincarnation de : Dragon
LOCALISATION : Oslo
PROFESSION : Fabricant d'armes
ORBES : 166
misères : 20
Lun 16 Nov - 0:05
❝ My Brother, My Responsability ❞
Ft. @Caleb Odegärd


Pourquoi te garder en vie? Après tous, il ne te connaissait pas réellement, tu usais seulement l'apparence du frère de cet Hélios. Naguini devait se contenir, et restez concentré sur les souvenirs de Hélios, et peut-être s'habituer a cette vie la, mais il ne devait pas oublier qui il était réellement. Et surtout, il devait garder en tête son objectif.

Norbert n'avait pas hésité à faire mal a Caleb, mais il semblait un peu sournois au yeux de Hélios. C'était limite un peu une version de Caleb et Hélios mélanger lorsqu'il était jeune. A la question de Minerva, Hélios fronçait les sourcils.  Tu semblais redevenir sérieux, vraiment? Ce qu'il s'était passé? Qu'avait-il avoir la dedans? Ah oui... Il était dans un corps complètement inconnu a son égard, enfin presque. Minerva fronça les sourcils, que s'était-il donc passé pour voir autant de rancoeur dans le regard de ce jeune Caleb? Tu semblais te redresser assez violemment que Minerva en sursauta. Hélios déglutit un instant, il ne voulait pas se battre... Mais si il devait en arriver la, il hésiterait pas. Son corps avait froler le tien du a ton rapprochement. Hélios te dévisageait alors, tentant de comprendre ce que tu voulais réellement dire.  Pourquoi cherchais-tu a rappeler ça? Alors qu'il n'était même pas en tord. Les poings de Hélios se serrait automatiquement, il empechait la rage de prendre le dessus.

Il est vrai que ça faisant 7 ans que Hélios n'avait plus vu Caleb, mais il n'avait pas eu le choix. Il avait été forcé par ses parents du au fait que Caleb était la malédiction de la famille, leur parent avait forcé a Hélios de partir pour éviter de mourir. Hélios devait contenir ses émotions, il n'était pas pour partir, enfin d'après les souvenirs d'Hélios, il semblait vouloir rester pour s'occuper de celui-ci. Le jeune homme déglutit alors, ses yeux brillaient légèrement, comme si il s'était imprégné de son corps, comme si c'était vraiment Hélios. Il en oubliait la réalité.

- Je n'ai jamais voulu partir. Ils m'ont forcés à m'éloigner de toi...

Il ne put s'empecher de serrer davantage ses poings, ses ongles s'enfonçant dans sa paume ce qui le faisait légèrement saigner. Ne se rendant plus compte, son regard s'était assombrit lorsque tu lui donnais la serviette contre son torse. Le jeune homme l'attrapait violemment, tout en contenant toute la rage qu'il avait accumulé jusqu'a présent. Une fois ton visage proche du sien, il fit serrait les dents, et retroussait son nez en meme temps. Mais lorsque tu claquais la porte comme un enfant, il fermait les yeux un instant pour éviter de rire. Tu agissais réellement comme un enfant. Le jeune homme regardait les personnes âgées avant de sourire doucement.

- Si vous le voulez bien, j'aimerais parler a mon petit frère.

Minerva avait hoché la tete attrapant la main de son mari, pour lui faire comprendre qu'il était temps de partir. Au moins, ils avaient évités la police, c'était déjà ça. Hélios ouvrait la porte, l'a refermant derrière les vieux. Pour ensuite essuyer ses mains du au fait qu'il avait saigner. Il s'avançait vers la salle de bain, toquant a la porte.

- C'était quoi ce cirque la?! J'ai failli te tuer !



@Hell Rider



Caleb Odegärd
Caleb Odegärd
Dragon
réincarnation de : Samaël, illustre dragon et commandant d'une grande armée.
LOCALISATION : Bergen
PROFESSION : Tueur à gage
ORBES : 1533
misères : 198
Jeu 19 Nov - 22:43













I've got you brother




Son regard se perdait dans le reflet que la glace lui renvoyait. Il se perdait dans les méandres des courbes qui lui étaient étrangères. Il incline son faciès, à la recherche des traits qui maculaient autrefois son propre visage. Ses doigts serrent le rebord de l’évier en porcelaine, alors qu’il pouvait entendre ta voix agresser le silence et tenter d’y régner. Il lève les yeux au ciel et, réprimant sa colère, dirige ses iris vers la porte de la salle d’eau. Lâchant dans un grondement sourd :

« - Ouvre-la encore une fois, Odegärd, et je t’assure que je t’arrache la langue et l’offre en guise de cadeau de dédommagement à tes voisins. »

Sa voix sifflait entre ses dents serrées et cette menace, similaire à une promesse, s’étouffait à la barrière de ses lèvres. Il se cambre et, d’un geste léger vient humidifier son visage, le sang qui avait cessé de couler sur son nez venait de coaguler. Le vieil homme avait fait du bon travail, visiblement l’hémorragie avait été maitrisée et une simple marque allait mortifier ses expressions pendant quelques jours, voire quelques semaines. Rien de bien méchant.

Il se redresse lentement, attrape une serviette qu’il porte à son visage tuméfié et inspire profondément pour garder son calme. Sa salive est ravalée avec une lenteur qu’il trouvait lancinante, avant qu’il ne s’avance d’un pas serein vers la porte qui te séparait de lui. Il pose sa main sur la poignée et un fin sourire espiègle décore son expression lorsqu’il souffle, par-delà le bois de cette maudite porte :

« - Quel orgueil, pour un être qui frôle la mort si facilement. »

Et il ne te laisse pas le temps de répondre, ouvrant simplement la porte pour te faire face. Tu ne le dépassais que d’un petit centimètre, mais son aura écrasait la tienne par sa prestance et l’expérience des combats. Il ne te touchait pas, il ne se faisait plus cette offense. Humectant ses lèvres d’un geste de la langue, il s’avance et collant presque son front au tien, murmure entre ses dents :

« - Tu vas faire quoi, hm ? Tenter de m’arracher le gosier pour m’éviter de te lancer toutes tes vérités? Tu penses être capable de mettre à terre un dragon qui a probablement des centaines d’années de plus que toi ? Hm… Toi… »

Il retrousse le nez avec un mépris qu’il ne prenait plus la peine de dissimuler, sa main te désignant d’un geste dédaigneux alors qu’il crache entre ses lèvres amidonnées ; « - Un misérable fabricant d’arme qui passe son temps à poster des photos sur Instagram et n’avoir d’autre ambition que de suivre la vie capitonnée de cet humain sans intérêt ? »

Il approche sa main de ta gauche, tentant d’attirer ton attention pour que tu puisses éviter son coup. À ce moment précis, il s’incline et de son autre main agrippe ta gorge pour te plaquer contre le mur. Restant alerte pour parer tout coup éventuel qui pourrait réduire à néant l’ascendance qu’il venait de remporter. Il désigne ton visage de son index, tout en serrant ses doigts autour de ta jugulaire, ses ongles sortant bien malgré lui et écorchant ta chair. Il tente pourtant de réprimer cet élan et d’exiler toutes les tortures qu’il imaginait, à la simple vue de ton corps ainsi délesté de toute son arrogance.

« - Je suis Samaël, guerrier illustre de l’infanterie du renommé Danael. » Il serre les dents à tel point qu’il craint de voir se déloger ses canines de ses gencives. Son visage proche du tien, il éructe tout en détachant chaque syllabe : « - Tu ne peux me tuer. » et son regard, flamboyant d’une rage nouvelle t’intimait de lui porter affront afin qu’il puisse, avec toute la grâce qu’il possédait, mettre un terme à ton existence misérable.

Il relâche violemment ta gorge après l’avoir serrée une dernière fois, par dépit et avec dédain, se reculant assez pour parer toute éventualité et tout désir de vengeance qui te prendrait. L’inconscience dont tu faisais preuve te rendait potentiellement imprévisible, et il se devait d’envisager toute éventualité, même les plus saugrenues pour s’éviter la tare d’une nouvelle bévue.


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